@JL
Vouloir que l’éthique soit source de profit parce que cela impliquerait qu’on n’ait plus besoin de travailler ?
N’est-ce pas un peu tarabiscoté ?
( cf le concept d’après-guerre d’analyse de la valeur : cessons de partir de ’solutions’ pré-établies pour atteindre les objectifs si nous savons les définir !
L’objectif, ici, est-il : — de ne plus avoir besoin de travailler ? ou bien : — respecter une éthique ?
Dans les deux cas, pourquoi noyer le poisson avec le reste ? )
En tous cas, même ceux qui prétendent viser à un « intérêt général », à une efficacité (sous-entendu : dans le sens de cet ’intérêt général’) ne sauraient honnêtement faire l’économie d’une recherche démocratique d’évaluation et de consensus de ce que peut bien être l’impalpable et mouvante Volonté Générale !
(points sur les i : tout intérêt général ne peut être défini qu’en regard de la Volonté générale )
(les notions de ’marché’ , de ’Capitalisme’ ... peuvent-elles honnêtement primer sur cet effort si peu rencontré encore dans notre beau pays ?