Comme dans « le Guépard » : la majeure partie
de l’aristocratie a accepté de changer et de vivre
avec son temps, abandonnant les valeurs de pureté du sang pour des valeurs plus
pragmatiques comme le succès et l’argent, mais la fille de Don Fabrizio,
« le Guépard », elle, représente le choix du passéisme conduisant inéluctablement la famille vers une fin triste et poussiéreuse.
Pour Souchon, c’est
pareil : "Se vogliamo che tutto rimanga
come è, bisogna che tutto cambi". (Si nous voulons que tout reste
pareil, il faut que tout change), phrase souvent déformée sous la forme : "Il faut
que tout change pour que rien ne change"