Je ne le juge pas, ma première réaction, c’était que ni lui ni la femme (la dernière) n’étaient clairs sur cette affaire.
Mais j’ai lu quelques infos sur celle qui l’accuse, et sur le déroulé de l’affaire, et j’ai tendance à croire qu’il a été piégé, parce que la dame (il faut être correct, ou parler comme dans le droit administratif), elle n’est pas une première communiante, j’ai du mal à croire qu’en achetant une immunité, et en se retrouvant dans une situation prévue, elle ait été surprise ou qu’elle n’ait pas eu les moyens de refuser fermement et carrément si sa vertu a été atteinte.