Bonjour, George
Ouais, bof ! Sincèrement, je ne suis convaincu ni par ceux tiennent un discours délibérément anxiogène qui alimente la peur d’une majorité de nos compatriotes, ni par les discours qui nient tout danger de reprise de l’épidémie dans les lieux les plus exposés.
Comme souvent, la réalité est sans doute entre les deux.
Autrement dit, un virus qui circule toujours activement mais qui, en cette fin d’été, ne donne pas lieu à une recrudescence significative du nombre des cas de malades hospitalisés, et a fortiori en réanimation.
Le danger est-il écarté pour autant ? Peut-on, comme Toubiana, affirmer qu’il n’y a plus d’épidémie ? Cela me semble, avant l’arrivée de l’automne qui, comme chacun sait, est une saison à risque, pour le moins désinvolte.
Mais il est vrai que je ne suis ni épidémiologiste ni virologue.