La démocratie devient dangereuse quand un très puissant ministre qui détient de pouvoir et auquel obéissent toutes les forces de sécurité s’en prend à un simple citoyen. Il y a là un déséquilibre manifeste qui fait peur. Le fait-il pour un motif d’ordre supérieur (l’Etat en danger, terrorisme) ? Non, pour faire plaisir à ses amis policiers. C’est une circonstance aggravante.