On peut démontrer que le port d’un masque performant utilisé dans des
conditions particulières et avec les précautions nécessaires, réduit la
charge virale. Si l’on admet que la charge virale détermine la létalité,
on peut en conclure que « dans des conditions particulières et avec un
masque efficace, la létalité est réduite ».
Mais il y a loin de
la coupe aux lèvres : l’utilité du port d’un masque à tort et à travers
quand on en est à la phase d’acquisition de l’immunité collective, reste
à démontrer.
Sur la charge virale : il n’est pas prouvé que le masque réduit la charge virale.
Par
ailleurs, c’est en respirant sans masque un air contenant une faible quantité
d’aérosols contaminés qu’on devient porteur d’une faible charge virale.
Cette faible charge virale ne déclenche pas ou peu la maladie, mais ce
faisant, c’est peut-être ainsi que le système immunitaire se renforce.
En
conclusion : porter un masque modifie peut-être la charge virale, mais
personne ne peut dire si c’est en bien ou en mal. En revanche, tous les
inconvénients sociaux et individuels liés à cette pratique antinaturelle
sont indéniables. Si l’humanité n’avait pu s’en sortir que grâce à ces
merdes, nous ne serions pas là pour en parler.