Bonjour @Pauline pas Bismutée et néanmoins aux antipodes
Mon fils a connu, tout au nord de la NZ, une plage paradisiaque où la mer vous dispense à foison le nécessaire. Jusqu’à l’angoisse, paraît-il.
Je vous dit ça rapport à la situation de minimum social dans lequel vous avez été prise (si j’ai bien lu).
Je voulais répondre à l’Indien, mais puisque vous évoquez l’eau ...
En s’affûtant, le regard scientifique donnera une réponse à la controverse sur la mémoire de l’eau. Pour l’instant, l’esprit sensible voit cet élément comme un catalyseur de vie, et nul ne cherche la trace de Vénus sous la surface d’où elle émerge.
La vie serait mouvement duquel l’eau, prisonnière de son cycle, serait actrice involontaire. Suis-je seul à savoir qu’elle est diablesse ?
Je sais depuis longtemps le diagnostic porté par Géronimo : compétition entraîne disparition. Et je ne peux m’empêcher d’objecter les bienfaits de l’émulation. Comme si l’individu n’était que l’interprète de passions sous-jacentes, et que vouloir être le meilleur, ce n’est pas éliminer l’autre, mais faire l’éloge de celle parmi les passions qui est dominante en nous.