Il s’agit
d’un extrait de l’interview d’Alexandra Henrion-Caude généticienne de renommée
mondiale, donnée à TVL (TV liberté) : très intéressant !
Question :
En Italie, il y a
eu une étude qui mettant en avant la question du vaccin contre la grippe notamment,
mais aussi contre la méningite dans certains secteurs de l’Italie qui laissent
transparaître des éléments troublants.
Oui. Je pense que c’est toujours intéressant
d’essayer d’avoir des hypothèses sur tout. Donc l’hypothèse sur l’origine du
virus, vous l’avez traitée, mais l’hypothèse concernant la surmortalité dans
une région du nord de l’Italie, qui est une région très comparable à une ville
comme Paris, où l’on compte les deux tiers des décès de toute l’Italie. Là, ça
doit alerter. Alors est-ce que c’est la pollution, est-ce que c’est parce
qu’ils sont plus âgés dans cette région- là que dans d’autres régions, en fait
tout cela coexiste. Il y a une surpollution…
C’est la zone de Bergame. Est-ce
que c’est parce qu’ils ont des origines ethniques particulières, Étrusques,
avec des facteurs de coagulation des haplotypes différents, ça existe aussi. En
fait ce qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est quand on a parlé de l’orage
cytokinique. L’orage cytokinique c’est un bien grand mot pour dire qu’en fait
le système immunitaire part en explosion. On
peut y arriver par une interférence entre réponse vaccinale et réponse virale
(« vaccine-induced enhancement of viral infection »). Une interférence
entre réponse vaccinale et réponse virale, c’est la rencontre d’anticorps qui
au lieu de neutraliser des virus ou des bouts de virus vont déclencher une
inflammation de l’organisme. Là il y a une espèce de phénomène d’amplification,
un peu comme l’inflammation peut être délétère (parce qu’elle fait aussi partie
du processus de cicatrisation), cette amplification de la réponse peut être
délétère. Je crois que l’OMS a publié en
1999 leurs études qui dataient de 1995 expliquant que les Italiens du nord
étaient des méchants récalcitrants qui ne se faisaient pas assez vacciner
contre la grippe. Et cette année, il y en a eu plein les médias, ils étaient
extrêmement contents parce qu’ils avaient eu 185 000 doses, ils avaient vraiment vacciné à un très haut
niveau la population des plus de 65 ans en Italie. Ça, c’était en fin
octobre 2019.
Puis en janvier 2020 on a dit « il
y a des cas de méningite qui arrivent donc vous vous faites à nouveau vacciner
». Et là, simultanément le Covid circulait déjà, puisque d’après le docteur
Giuseppe Remuzzi, qui est coauteur d’un récent article dans The Lancet,
lui qui dit que le virus sévissait déjà depuis octobre 2019 vu les spécificités
cliniques de la pneumonie qu’il a pu analyser. Vous voyez un petit peu cette
population âgée qui se retrouve dans un contexte idéal d’interférences virales/vaccinales.
Personne n’a jamais nié
finalement que quand on administrait un vaccin il fallait le faire sur un
organisme sain, en bonne santé, même si on a tendance à l’oublier.
De la même façon
lorsque vous avez été vacciné, il est important que vous ne rencontriez pas un
virus dans la foulée parce que vous avez ce même phénomène d’amplification de
l’orage cytokinique qui peut survenir. Il y a cette étude de l’armée
américaine, qui est effectivement très intéressante, qui a repris plusieurs
milliers de patients non vaccinés et vaccinés et qui a regardé la survenue
d’infections respiratoires autres que la grippe. Moralité, lorsqu’on regarde
ces études, on doit au minimum discuter sans plus attendre de la nécessité
qu’il y a à vacciner notre population âgée cette année où on sait que le Covid
circule encore. Même si l’épidémie dans son cycle est terminée, le virus
circule encore, parce que sinon on a une chance, d’après ces études,
d’augmenter 1,5 à 2 fois la possibilité d’avoir certaines infections
respiratoires et notamment véhiculées par le coronavirus.
Ça fait partie de ces choses que
j’aimerais voir discutées parce que, évidemment, personne n’a la solution, ni
moi ni personne. Mais au minimum on doit en discuter pour rapporter peut-être
des éléments de la littérature auxquels les uns les autres sont confrontés.
« Vacciner
quelqu’un qui a eu le Covid sans le savoir, c’est aussi une possibilité de le mettre
en danger. » Alexandra Henro-Caude généticienne.
https://www.youtube.com/results?search_query=TVL+alexandra+henrig-‰Caude