@ Aristide
Je suis d’accord avec vous : il ne faut pas confondre la nostalgie du passé, très largement liée à la nostalgie de ses propres années de jeunesse, avec la réalité des conditions de vie comparées.
Le ressenti des Russes âgés — mais cela vaut également pour les ex-habitants de la RDA — est en outre très largement influencé par le fait que les exigences de vie sociale actuelles, dans un contexte de suréquipement et de surconsommation, sont plus grandes qu’autrefois et conduisent à un mal-être mental contemporain qui n’a rien à voir avec les conditions de vie.
J’ai exprimé quelque choses d’approchant dans cet article :
1953 versus 2013 : paradoxe des conditions de vie