@Séraphin Lampion
La perversion ultime reste celle que le film de « Mondo cane » (1962) avait fait découvrir aux innocents de l’époque (dont j’étais)
que des journalistes pouvaient fabriquer l’actualité en réalisant une mise en scène, y compris en demandant à un bourreau d’arrêter un torture le temps de changer la pellicule.
D’une autre façon, mais aussi perverse est la « création d’événement » quand il ne se passe rien, comme dans l’affaire Grégory où les journalistes parisiens qui n’avaient rien à se se mettre sous la dent sont allés manipuler le père du petit pour déclencher l’« action ».
Cette pratique est devenue tellement courante qu’il existe des officine spécialisées dans ce genre d’opération (sans parler des « false flags » qui, s’ils sont réussis, ne sont pas détectés comme tels).