@HELIOS
Non, justement.
Si c’est devenu ça, c’est-à-dire si ça s’est encore aggravé après la destruction du « service public » de la radio et de la télévision, c’est parce que les gouvernants de toutes tendances avaient pris l’habitude d’en faire les principaux outils de diffusion et de justification de leur politique.
Mais aussi, et surtout, c’est parce qu’ils avaient réussi à convaincre la population que cela était normal.
C’est pourquoi il est capital que le véritable service public de l’audiovisuel à construire doit être construit, et doit fonctionner, sous contrôle populaire.
C’est aussi la raison pour laquelle radios et télés publiques devront être complétées par des sites internet de service public, assurant un libre échange entre les citoyens qui voudraient y prendre part.