Le « temps des cerises » de la chanson, c’était Semaine
sanglante de fin mai
1871 qui, pour certains comme moi, reste une « plaie ouverte », un « souvenir que je garde au cœur », de « cerises d’amour [...] tombant [...] en gouttes de sang ». La
chanson est belle et l’image nostalgique, « Mais il est bien court le temps des cerises »,
par rapport au long épisode de « Nacht und Nebel » qui a commencé en
Mars et s’éternise, ponctué de spasmes nauséabonds.