votre article ds sa simple conclusion se contredit, et ce ds sa totalité —
’éventuelle découverte de virus animaux présentant une très forte
similarité avec SARS-CoV-2 fournirait un élément décisif pour valider
son origine naturelle ’
Signifie que l’on a même pas identifié l’animal, dont le virus de base aurait été recombiné, et encore moins le virus compatible avec l’humain qui aurait permit cette recombinaison, et son second hôte .... La chauffe souris et le pangolin était alors une foutaise, les conclusion hâtives changent de camp non ?
RaTG13
96% du génome, allons ! le cochon 97% avec notre ADN ...
En plus ce ces contradictions insupportables que vous nous affligez, vous oubliez les bonnes questions, quel serait le pourcentage de modification connu, lors d’une telle recombinaison, très mineur non, voir négligeable ?
Vous avez reçu un chèque de complément de retraite à la maison non, ou la promesse d’une nouvelle médaille en chocolat ?