Les lois de la Tunisie
de la Grèce ou de la Turquie n’ont pas changé, ce qui n’a pas empêché et n’empêche
toujours pas des dictateurs de s’installer. C’est vrai qu’aujourd’hui, on a
tendance à les appeler « populistes » (un adjectif pratique et creux
qui permet de tailler un costard gratos à son ennemi politique).