J’ai dû toucher une corde sensible pour avoir tant de réponses au diapason. Je n’ai pas dû jouer du violon pour trouver tant (de) bourrins. Heureusement, les solistes sont là. Sinon, on joue du pipeau, la harpe est partie, chassée par des harpies. On trouve même ici un orgue des barbaries. Il n’y a plus de cymbales mais ici on s’emballe, on ne suit plus la mesure, on joue la démesure dans cette Marche funèbre célébrant l’enterrement de la raison. Un concert de casseroles. Vivement les rappels…à l’ordre.