A la faveur des incertitudes présidentielles étasuniennes, le Pentagone a été doublé par ses alliés britanniques.
Londres et Ankara ont renoué leur alliance de l’époque ottomane qui était tombée en désuétude quand Ankara s’était aligné sur Berlin. C’est curieux comme la carte géopolitiques ont tendance ces derniers temps à vouloir effacer les traces des deux guerres mondiales.
Washington et Moscou n’ont rien gagné.
Par contre, Soros et les Arméniens ont beaucoup perdu.