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En réponse à :

Hervé Hum Hervé Hum 7 décembre 2020 11:55

@nono le simplet

même en multipliant le chiffre par dix, cela reste une épidémie mineure sur le plan de la mortalité au niveau général. Seul au niveau particulier l’épidémie peut avoir une incidence dramatique, mais on ne peut pas réduire toute une population à une minorité de cas, sans poser la question des autres causes de surmortalités, comme le tabac, la pollution, l’alcool, la malbouffe, etc...

Ensuite, si le vaccin ne protège que celui qui se fait vacciner et n’arrête pas sa transmission, le vaccin n’aura qu’un effet marginal dans sa propagation, seule l’immunité collective l’arrêtera.

Pour finir, le vaccin et pour la raison qu’il n’arrête pas la propagation, ne peut pas être imposé de force sans violer le principe de liberté individuelle, dès l’instant où seuls ceux qui renoncent à se faire vacciner peuvent êtres atteint par sa forme grave et ce, sans pour autant interdire le droit aux soins. ; car dans ce cas là, il faudra aussi revoir tous les droits aux soins pour non respect des consignes de sécurité sanitaires. Par exemple, une personne obèse suite à l’excès de nourriture ou malbouffe se voit interdire de soins lié à son obésité. Où il faudrait dès lors prouver que la maladie n’est pas dû à une négligence ou volonté personnelle de ne pas prendre soin de sa santé.

Bref, forcer les gens à se faire vacciner et pratiquer une quelconque forme de discrimination entre vacciné et non vacciné, c’est violer autant la liberté, l’égalité et la fraternité. Autrement dit, mettre à bas les principes fondamentaux sur lesquels la France est censé s’appuyer pour élaborer sa loi commune.

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