Et pendant que les européens et les yankees se démènent comme des
beaux diables pour faire valoir leur vénérable vaccin, celui qui
remplira le premier les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Nos amis les noiches
se foutent royalement de nos gueules avec leur sourire engagé en
faisant la danse des canards dans les rues, et les boîtes de
nuit de wuhan le berceau de l’épidémie.
Après avoir vérolé le
monde entier en se goinfrant de pangolins, de chauves-souris, de
rats, de chiens, d’ailerons de requins, de singes afin d’obtenir
les meilleures performances de la bandaison. Dutronc chantait en 1966
« et, et moi, 500 millions de chinois » .
Depuis leur
découverte des écailles de pangolins qui les font bander comme des
taureaux ils se sont rattrapés en se reproduisant comme des lapins
pour atteindre 1,4 milliards en 2020. Qu’ils s’enculent à la fin
s’ils ne veulent pas utiliser la contraception.
Merde ! C’est
vrai quoi !
Non seulement, on ne
peut plus rien acheter, puisque comme des cons nous leur avons refilé
toutes les industries, nous sommes maintenant obligés de racheter ce que nous
leur avons offert gracieusement. Et en cadeau ils nous refilent la
vérole.
Ce n’est plus le
péril jaune, c‘est une chaude pisse mondiale.
C’est l’effet
boomerang.
Comme disait ma
grand-mère. Le chinois est fourbe. Quand il te sourit ne prend pas
ça pour de la sympathie . Il se fout tout simplement de ta
gueule. Pour lui faire comprendre que tu n’es pas plus con que lui.
Réponds lui par un sourire.