@Séraphin Lampion
on n’a plus le droit d’être malade, c’est la suite logique du « on n’a plus le droit, ni d’avoir faim ni d’avoir froid » ces paroles qui ne choquent curieusement jamais personne.
État d’urgence sanitaire : « La figure du danger était celle du terroriste, demain, ce sera le malade »
Demain ? non aujourd’hui, on y est.