@pipiou2
Vous vous plaisez à déformer mes propos. Pourtant je vous ai expliqué votre erreur. Vous persistez, donc vous faites délibérément de la manipulation pour faire croire que je considère que Twitter est un vecteur essentiel de démocratie (formule boiteuse). Alors, je m’explique à nouveau, non pas pour vous puisque vous n’êtes pas dans l’échange mais dans la déformation délibérée des propos, je m’explique pour ceux qui lisent ces échanges.
Que l’on aime ou que l’on aime pas Twitter, il est incontestable que si ce n’est pas un vecteur (formule étrange) c’est un acteur puissant dans les outils permettant l’expression publique des idées et la communication entre individus. DE fait, sauf à être malhonnête, on ne peut pas ignorer, ni feindre, que Twitter joue un rôle important dans l’effectivité du principe fondamentale de la liberté d’expression. Bannir quelqu’un de Twitter, c’est le couper d’une audience publique et de ses abonnés. rappel : le compte de Donald Trump avait 88,7 millions d’abonnés (Biden en a que 23 millions !)
Certains disent que Twitter est privé et qu’il fait ce qu’il veut. Le raisonnement est fallacieux car il omet une chose essentielle : toute personne, physique mais aussi morale, doit
respecter les lois d’un pays et les principes fondamentaux qui fondent une
démocratie et notamment la liberté d’expression. On vous dira que si
vous ne pouvez pas aller sur Twitter, cela n’est pas grave, vous irez ailleurs
! Certes, mais cet ailleurs, hier encore pouvait être la plateforme Parler mais
cette dernière vient d’être supprimée dans son intégralité ! Ce n’est pas grave,
vous irez encore ailleurs ? Pourquoi pas, mais où ? Tout sera supprimé. On peut
même vous couper l’accès à Internet. Il ne restera que la rue pour faire
entendre sa voix. Pas de chance, entre les couvre-feux, les confinements, les
limitations du nombre de personnes pouvant se rassembler et les infiltrations
de tout mouvement revendicatif par des personnes dont le but est de dénaturer
la protestation par la violence, il ne reste plus rien ! La dictature règne en
maître et pire, sous l’apparence d’une démocratie.
Faire celui qui ne voit pas ce qui se passe revient à collaborer avec cette dictature fasciste qui au prétexte de sauver la démocratie l’assassine et donne au régime en place l’apparence d’une démocratie alors qu’il n’est qu’arbitraire et détestation de ceux qui n’ont pas les mêmes opinions, et pire, tentent de les exprimer et de les partager.