La double mise en perspective ne me semble pas si binaire que cela.
Je crois plus à un message classique d’extrême-droite :
- l’invasion d’une déferlante de barbares plus ou moins colorés menaçant la civilisation
- dans le même temps la dépravation et la corruption des moeurs amenées par la mondialisation incarnée par Xerxès et son empire universel
Ce qui est bien pratique, car dans ce film les deux grandes peurs sont incarnées par une seule et même entité, ce qui est plus compliqué dans la réalité.