@I.A.
« Il faut peut-être envisager de ne plus rien envisager ? »
Gouverner, c’est agir sur différents curseurs en fonction de facteurs contradictoires.
Le « tout sanitaire » pouvait se comprendre à chaud lors de la première vague d’une épidémie nouvelle, pendant une durée limitée et pour solde de tous comptes.
Mais la maladie est au stade endémique avec des pics et des reflux, et dans la durée, les effets de la mise en sommeil plus ou moins profond des activités du pays deviennent de plus en plus néfastes pour le présent et pour l’avenir.
Sans aller jusqu’à ne rien envisager et ne prendre aucune mesure, le « trop » est l’ennemi du bien.