On croit rêver en lisant cette hagiographie délirante.
Le Sieur Giscard « d’Estaing » a en fait été, en compagnie de son frère-ennemi Chirac, l’un des pires fossoyeurs de l’oeuvre qu’avait laissé de Gaulle.
En premier lieu bien sûr le fameux regroupement familial, première étape du grand remplacement, et qui (à l’heure même où le chômage commençait à être un problème important) a ouvert la porte aux 15 millions d’immigrés qui se sont précipités depuis, attirés par les délirantes et ruineuses prestations sociales faites justement pour les faire venir.
Giscard tout au long du reste de sa vie, n’a jamais fait que pousser dans ce sens et n’a jamais usé de son statut pour mettre en garde les français.
Son autre « oeuvre » le fédéralisme européen, s’est révélé tout aussi catastrophique. Sa dernière action a été de défendre une constitution européenne rejetée par les électeurs, et qu’on a malgré cela imposé.
Il a jusqu’au bout été l’homme d’un système destructeur. Ses successeurs n’ont pas fait mieux, certes, mais ce n’est pas une excuse.