« La dérive dévolutionniste susmentionnée du franquisme judiciaire tardif de l’Etat espagnol sera protégée par la « spirale du silence » des média de l’establishment (PRISA, Vocento, Grupo Planeta, Grupo Godó, Grupo Zeta, Editorial Prensa Ibérica, Unidad Editorial, TVE et Mediaset Espagne) »
Je n’ai pas bien compris si c’était de l’humour, premier degré ou pas, mais la plupart des média sus-cités sont subventionnés par le gouvernement espagnol progressiste de la gauche mondialiste de même facture que le gouvernement français. Ce sont eux qui pratiquent la censure, pas le franquisme !
Ce qui peut se rapprocher le plus du franquisme, c’est à la limite le parti Vox, qui est censuré sur les réseaux sociaux par le totalitarisme de la gauche progressiste, pas par le franquisme !