« Le rêve est une seconde vie. Je n’ai pu percer sans frémir ces portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible. » (Nerval, 1855).
On vous avait déjà connu prenant prétexte de Noël pour une oiseuse dissertation sur Pâques et les méfaits de l’avortement, fort improbablement illustrée par la Vénus de Boticelli ((« Penser Printemps ! », j’imagine), mais laissez donc la mémoire de Gérard de Nerval tranquille, elle ne vous a rien fait !!!
Qu’ont donc à voir la poésie et le destin tragique d’« El Desdichado » avec la technocratie €urocrate, les menées d’un des Goldman Sachs boys de la BC€ et les pillages de nos services publics organisés par des psychopathes aussi talentueux que sans âme ???
Parce que votre « Super » Mario Draghi, j’ignore encore dans quel état son passage laissera l’Italie et surtout les Italiens, mais - à l’instar de notre très immature et narcissique petit Monarc adoubé par Rothschild -, il ne s’agit jamais en matière d’homme providentiel que d’un « sauveur » des seules banques et autres financiers apatrides qui nous asservissent !