« ..repérer les enfants à problèmes dès l’âge de 2 ans .. »
Il existe aussi un enjeu financier derrière les propos de Mr S. à savoir, les difficultés que connaissent certains laboratoires pharmaceutique à promouvoir la prescription de psychotropes aux mineurs.
Ce qui représente un manque à gagner conséquent en terme de cible inaccessible.
Aus Etats-Unis, où n’existe pas ce genre de tabous, certaines écoles refusent d’inscrire des enfants catalogués « hyperactifs » si ceux-ci ne suivent pas un traitement à base de « Ritaline », l’actuel médicament-vedette pour ce type de cas.
Faut-il voir une action de lobbying derrière les propos de Nicolas S.
A ce sujet, la lecture de l’ouvrage du Docteur Zarifian : le prix du bien-être, psychotropes et société - est particulièrement édifiante..
gAZi bORAt
Aus Etats-Unis