il n’y a pas de 2040
on assiste à la combinaison de deux faits :
-grande montée en puissance des pouvoirs de la censure en tous genres
(sur le web, par le confinement, sur les télés, dans beaucoup de discours)
en parallèle,
-il se dessine clairement deux discours,
le censurant et l’autre, qui pèse tout aussi lourd, sinon plus..
mais c’est comme si les puissances de la censure étaient passées d’un fonctionnement névrotique (par le refoulement) à un fonctionnement psychotique (par le déni)
ce déni est une régression, elle est donc le signe de l’imminence de la crise, encore devant nous,
car le déniant vit avec un moi splitté en deux
il ne veut que sa bonne mère oui,
mais il a perdu le père...
et ce père ne manquera de lui faire retour sous la forme à laquelle il s’attend le moins
ainsi avant même la fin de la décennie, tout sera décidé :
soit nous avons réussi à arracher l’abomination dévastatrice
(et les catastrophes y aideront ?)
soit c’est parti pour des millénaires d’obscurité.