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Mais dans cette crise pandémique, le « système » a pourtant mis au placard certains de ses dogmes, notamment le désendettement public. Les banques centrales ont généré des milliards pour des prêts à taux quasi nuls (qui ne rapporteront rien aux banques ni épargnants) utilisés par nos gouvernants pour le tonneau des danaïdes de l’indemnisation de l’arrêt des activités économiques, sans aucun investissement pérenne. Des pays comme l’Espagne n’ayant pas les mêmes capacités d’emprunts on rouvert leurs établissements, et il ne semble pas qu’il y ait pire situation sanitaire.