c’est l’hôpital qui risque de craquer. (…) D’ici quinze
jours à trois semaines, les hôpitaux vont se prendre une vague d’une
violence inouïe
C’est pour ça qu’il vaut mieux confiner, priver les gens de liberté et détruire l’économie, plutôt que de simplement augmenter le nombre de lits voire utiliser les cliniques privées.
Et puis, le « craquage » de l’hôpital, c’est surement pas lié à la politique destructive menée depuis des années par les différents gouvernement.