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jjwaDal jjwaDal 12 avril 2021 12:47

Tout indique que les politiques, comme la science sont sous influence. Laquelle ? Celle des laboratoires pharmaceutiques qui concentrent l’expertise qu’on a évacuée du domaine public en grande partie et qui donnent des conseils orientés dans le sens de leurs seuls intérêts.
On peut y ajouter l’incompétence et la faute grave des acteurs publics qui manifestement n’avaient pas lu les plans pandémies et ne tenaient pas compte des recommandations (comme surveiller un stock stratégique de masques).
Comment expliquer sinon que des molécules en vente libre consommées en prophylaxie par des centaines de millions de personnes, au long cours, sur des décennies, deviennent inaccessibles sous prescription médicale « vu les risques encourues », alors qu’on a des indices d’une possible réduction de l’hospitalisation voire de la mortalité finale ? Hydroxychloroquine et Ivermectine ne sont pas connues pour être plus dangereuses que le doliprane et contrairement à ce dernier ont un impact avéré sur la covid-19. Donc il faut les interdire ? A qui peut profiter cette imbécilité ? On a la réponse.
Concernant les vaccins, quelques scientifiques nous ont prévenus, notamment Christian Vélot. Les vecteurs d’ARNm sont susceptibles d’être rendus inopérants très vite par mutation de la protéine de surface du virus et s’ils rencontrent un virus ARN dans les cellules touchées risque de création de mutants. Les vaccins à vecteur viral (AstraZeneca, Spoutnik) sont eux suscceptibles par mauvaise insertion de la portion d’ADN chargé de fabriquer l’ARNm, d’activer des oncogènes comme cela a été observé dans les tentatives de thérapie génique avec une fréquence supérieure à 5%. Peu de chance que ces cancers apparaissent dans les mois à venir, mais sur des centaines de millions de vaccinés, il y aura de la casse.
Tout laisse à penser que la meilleure vaccination est la confrontation directe avec le virus (en boostant son immunité néanmoins) ou les vaccins traditionnels qui exposent le virus entier (le « Sinopharm » chinois par ex).
Quand Ioannidis nous dit que la létalité de la Covid-19 au niveau mondial est celui de la grippe et un peu supérieure (0,3 à 0,4%) dans les pays les plus riches, pour des raisons connues (pyramide des âges, pathologies de l’abondance disons), on peut se demander quelle mouche a piqué ces amateurs de gestion de crise.
La piste de Big Pharma est à privilégier. Elle n’est pas exclusive d’un opportunisme patent pour profiter de l’aubaine. Ils n’ont pas programmé le chaos mais savent en tirer profit. C’est leur formation et leur talent.


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