@Pauline pas Bismutée
voilà ce que donne la traduction officielle du petit extrait que j’ai mis plus haut, réalisée par un couple franco colombien. J’aurais sûrement fait beaucoup moins bien, mais on perd quand même un peu de la musique de la langue...
Profitant de la délicieuse impunité que leur assurait le désordre général, José Arcadio et Pilar connurent quelques heures de liberté. Ils allaient comme deux fiancés bienheureux perdus au milieu de la foule. Ils en arrivèrent même à soupçonner que l’amour pouvait être un sentiment plus posé, plus profond que ce bonheur effréné mais éphémère de leurs nuits clandestines.