@Iris
« Vous condamnez la violence entre les mouvements ouvriers seulement ».
A part que c’est mal formulé c’est en effet mon idée.
En ce qui concerne l’ennemi de classe, nous subissons sa violence sans arrêt. Combien d’hommes et de femmes sont morts de faim et de froid cette année ? Combien n’ont pas eu les soins qu’il fallait dans les hôpitaux parce que les capitalistes ont exigé des suppressions en masse de lits ? (...)
Cela ce n’est pas du « dialogue ».