N’idéalisez-vous pas un peu trop le citoyen d’antan, lequel aurait toujours pris le temps d’analyser des textes longs et aurait réagit rationnellement et sans retard aux « alertes » ? La masse faisait-elle beaucoup plus, à cet égard, que lire le journal ?
À l’inverse, la population n’est-elle pas aujourd’hui plus réceptive à la diversité des points de vue ? Peut-être faut-il pas trop espérer de réaction à court terme, quand une certaine maturation nécessite du temps.