« […] le Graal tant recherché par le Parti communiste chinois, c’est-à-dire devenir plus rapidement que prévu la 1ère puissance économique mondiale et, avant son 100ème anniversaire (2049), la 1ère puissance militaire et peut-être même spatiale. »
Oui, le voilà très précisément, le problème. À ne vouloir considérer que les pays qui pèsent financièrement,
- on a commencé par leur accorder une place de choix dans les institutions internationales.
- Puis on a persisté, ces dernières années, en conférant une valeur de référence à leurs faits et gestes, quels qu’ils soient.
- Enfin, on a fini par se prendre à les mimer, tout récemment !
… Ayant bêtement zappé qu’il ne s’agissait pas là de systèmes démocratiques, mais bien de fascismes d’État dont la puissance – économique, militaire ou spatiale – est inversement égale à l’oppression de leurs populations.
(Bon, démocratie-ploutocratie, ce n’est pas tellement mieux non plus...).
En ce sens, la conclusion de votre excellent article remet parfaitement les points sur les i – merci.