@Decouz
Ceci dit l’auteur dénie aux femmes le droit de se libérer à l’intérieur de l’islam, parce que la religion étant une aliénation, il faudrait se libérer de cette aliénation, ce n’est pas l’avis de ces femmes et elles ne sont pas des « collaboratrices » si on respecte leur point de vue.
Mais en admettant que la religion soit une aliénation, et les femmes aliénées à l’intérieur de cette aliénation, ce serait encore discutable de savoir si il leur faut d’un seul coup faire leur révolution, ou au contraire adopter une démarche progressiste, et si ce ne serait pas déjà un pas important de prise de conscience en vue d’une « libération » totale.