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Hervé Hum Hervé Hum 19 juin 2021 11:41

@Gollum

La géométrie non euclidienne, certes, mais il y a juste un petit détail qui semble échapper aux grands scientifiques, le fait qu’on se sert toujours de la géométrie euclidienne pour définir la non euclidienne, j’ai pas connaissance qu’ils fassent l« inverse. Essayez donc  ! Autrement dit, la géométrie euclidienne contient toutes les géométries non euclidienne et ne sont que des restrictions de la géométrie euclidienne ou une fractalisation de celle-ci.

Sur le principe de non contradiction, je n’ai pas écris que ce n’était pas un principe parmi d’autre, mais qu’il faisait partie, parmi d’autres, du principe de causalité non aristotécien. C’est ce dernier qui est une vieille lune. Surtout que vous insistez à me jouer le sketch des croissants de Fernand Raynaud, puisque vous persistez à dire que je parle de la causalité d’Aristote, alors qu’il n’en est rien, je reprend certes les principes de non contradiction et de tiers exclu, mais ils ne sont pas les plus importants,. Pour ma part, les prémisses d’Aristote sont un pur sophisme intellectuel.

Pour ce qui est de vos liens, il faut acheter le livre, désolé, je n’en ait pas l’intention ;
Mais là encore, je doute fort que la »synchronicité" contredise le principe de relations de causalité, mais l’affirme. Notamment parce que le principe de récurrence, dit que chaque échelle donnée obéit à un ordre premier, directeur, qui se retrouve dans toutes les itérations de cette même échelle et devient un ordre secondaire lorsque on change d’échelle, mais continu pourtant d’exister et de s’appliquer à toutes les échelles. Seulement, elle prend une forme discrète. Résultat ? Les scientifiques voient de la synchronicité partout !

Mais je vous accorde que j’ai mal compris votre commentaire sur ce point.

Pour finir, la causalité non aristotélicienne, intègre très bien la non localité quantique et le principe de récurrence est par définition un principe systémique. Mais encore une fois, je reconnais que sans explication développée de ma part, vous ne pouvez pas comprendre ce que j’écris, notamment sur le fait que la causalité non aristotélicienne (vous me faites comprendre la nécessité de le préciser et d’insister) est statique dans ses fondements et dynamique dans les formes. Le climat en est un parfaite illustration.

Ici, toute particule de matière est l’expression d’une relation de causalité et rien d’autre. Les particules peuvent êtres divisées en trois catégories, celles ayant des propriétés purement récursives, récursives et itératives et enfin, récursives, itératives et fractales que sont les atomes. Je ne suis pas physicien pour faire cette catégorisation, mais j’affirme qu’elle peut être faites et montrer une cohérence totale et permettre une compréhension parfaite de la physique à toutes les échelles.

La causalité non aristotélicienne fournit surtout un cadre logique.

En attendant que je fournisse une explication développé, si jamais je la donne, je suis d’accord d’en rester là.


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