Le problème de la classe moyenne c’est qu’auparavant elle
léchait les culs des patrons en faisant toutes sortes de sacrifices
pour leurs chers et bien aimés patrons.
D’ailleurs, ceux
là, le leur rendaient bien dans le genre « Toi ! Couilles
molles ! tu as bien fait trimer les pues la sueur tu deviendras
le chef. Merci patron ! Merci patron... Quel bonheur de
travailler pour vous on est heureux comme des fous.
Aujourd’hui, il
faut se rendre à l’évidence et cela ne va pas aller en
s’améliorant. Il y a une dette abyssale à rembourser pas
seulement post covid elle était déjà présente avant la crise
sanitaire qui n’a fait que l’enfler davantage.
Quand les patrons en
étroite collaboration avec l’état se battent comme de beaux
diables pour faire avaler toutes les couleuvres réformatrices aux
salarié-es. Réforme des retraites, du chômage, de la sécurité
sociale, du code du travail etc etc.
Que le patronat veut
imposer le télétravail. A qui croyez vous que cela s’adresse ?
Aux salarié-es du tertiaire qui représentent les classes moyennes.
Vous avez récemment entendu ces salarié-es se révolter contre
cette mascarade ? Que nenni ! Comme de bons gros toutous
ils font le dos ronds devant le patronat ou l’état patron.
Remarquez la plupart
de ces salarié-es sont bardés de crédits pour la maison, la
voiture la sur consommation à outrance etc. L’état comme le
patronat peut faire passer n’importe quelles réformes contre la
masse salariale personne ne bougera une oreille.
Alors l’histoire
de la racaille d’en haut, d’en bas, du milieu ou du cosmos n’a
absolument aucun sens. L’union fait la force ! Il fût un
temps où ce slogan avait une signification aujourd’hui on en est à
marche ou crève et diviser pour mieux régner. Pleurnichez braves
couillons...Bienvenue chez les pues la sueur !