@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Je n’ai jamais parlé de génétique, je parle de pollution de la zone du cerveau qui décide de notre orientation sexuelle bien avant la naissance. Si le modèle animal est transposable à l’humain, que ça plaise ou non, notre orientation sexuelle est pliée avant même la naissance.
A l’adolescence je n’appréciais la compagnie que des garçons et mon cerveau n’était attiré que par les filles dont je me foutais éperdument. Si on pouvait selon votre théorie choisir j’aurai opté pour l’homosexualité, sauf que le bourricot qui me sert de support-vie n’a toujours été attiré que par les femmes.
Je ne vois pas comment l’homosexualité serait un handicap en étant sous dépendance génétique . C’est vécu comme un handicap si la société ne les accepte pas tels qu’ils sont mais en soi je ne vois pas ce qui pourrait constituer un handicap dans le fait de l’être.
Mon expérience personnelle me fait totalement exclure la possibilité d’un choix en matière d’orientation sexuelle. Comme dit plus haut il est possible qu’une contamination sous critique de la zone de cerveau impliquée aboutisse à du 50/50 et que là l’éducation et l’environnement prédomine. Mais ce doit être rare.