Le plus dur est derrière nous. L’immunité collective est déjà acquise contre la première version du virus qui a disparu. Et dans la mesure où d’un variant à l’autre les modifications sont très limitées, il est clair qu’une immunité au moins partielle est conférée par une première infection et donc qu’à chaque vague le nombre de personnes sans défenses diminue. Le fait que peu d’individus aient été malades plusieurs fois avec des variants différents va dans ce sens. On se dirige donc vers des vagues de plus en plus faibles jusqu’à ce que ce virus devienne endémique et rentre dans le rang. Il sera alors une composante parmi d’autres des multiples affections respiratoires qui sévissent principalement l’hiver.
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