Bonsoir, Sylvain
Je parlerais plutôt d’« inéluctabilité » du déclin : faire passer un tas de vêtements usagés pour une oeuvre d’art est une escroquerie intellectuelle. Sans le discours qui est servi avec, ce genre d’installation n’est rien, nada, zéro !
Or, le discours est lui-même frelaté car s’il est juste sur le fond, la réalité est qu’il ne fait que servir une monstrueuse dérive marketing !!!