Encore pire :
« L’atteinte à la liberté devra être justifiée, adaptée, minimale. Le juge y veillera je pense. »
Un tel juge, rendant « adaptée », « justifiée » (minimale ou pas !) une atteinte à la liberté, ne ferait que la cautionner et légitimationner un foulé aux pieds de la devise que le monde nous envie :
Liberté de ne pas choisir l’égalité-en-dignité et la liberté,
pour que lorsque le choix, au contraire, de les adopter est décidé, cette adoption ne puisse être dénoncée comme fausse, car contrainte et extorquée !