Mais c’était pareil grosso modo au Kosovo (les violences et expulsions massives ont commencé après l’intervention de l’OTAN pas avant), et là Chirac était d’accord.
On se demande si, pour l’Irak, il n’a pas essentiellement agit par ancienne amitié pour Saddam Hussein, comme Sarkozy a agit par détestation de Khadafi en 2011.