Ce titre m’a inspiré un souvenir de ma jeunesse, concernant un vieux compagnon de chantier érudit et « anar » sur les bords, paix à son âme, me disant avec son merveilleux « assent » provençal : « Tu sais pitchoun, la génération spontanée ça n’existe pas non plus en connerie, c’est toujours avec les jeunes cons que la société en fabrique de vieux ». . .