@Guillaume David : que préconisez-vous concrètement comme mesures contre l’embrigadement et autres excès ? Comment définir légalement la « manipulation de conscience » ?
Tous les parents, tout le système éducatif, même laïc, toutes les structures sociales la pratiquent à divers degrés... et c’est un mal nécessaire, si je puis dire. Comment différencier, légalement j’entends, la « bonne » manipulation, de la « mauvaise » manipulation ? Finalement, c’est plutôt une question de finalité, non ?
(on est bien d’accord, je ne nie pas le problème, mais j’essaye de savoir ce qu’on peut faire concrètement, sans franchir la ligne jaune)