@jjwaDal
Bonsoir et merci pour votre commentaire auquel je souscris entièrement et que je cite à nouveau.
Il existe un moyen efficace, à portée de main, pour se prémunir sinon enrayer la perspective que vous évoquez : "Après il y aura la 3ième injection dont on sait qu’elle ne fait que
repousser un peu l’échéance, puis un nouveau vaccin et l’obligation
vaccinale pour tous tombera en 2023 de toute façon au terme de la phase
d’expérimentation.«
Il faut mettre au pouvoir — i.e élire — quelqu’un qui décidera d’enrayer déjà en France cette folie planétaire.
Il s’agit de réveiller les gens avec un électro-choc en leur annonçant de manière officielle que la plaisanterie est définitivement terminée et que l’ensemble des mesures liberticides comme celles relevant d’uns stratégie médicale qui conduit au génocide sanitaire est définitivement, officiellement, arrêté.
C’est personnellement ce que je déciderais de faire si tel était le cas.
Sinon, hé bien nous serons contraints de participer au programme que vous développez fort clairement et qui n’affole pas les foules, ainsi que je le constate quotidiennement en discutant avec des gens bouchés à l’émeri, en complète situation de déni absolu, qui ne comprennent rien à rien, ne veulent surtout pas être dérangés dans leurs certitudes et qui, beaucoup plus grave, se retranchent derrière les décisions scélérates du Conseil d’État et du Conseil Constitutionnel, ce qui est plus qu’affligeant:dramatique.
»Utiliser le vocabulaire qu’on nous impose pour définir les faits et les
choses est déjà faire un pas dans la direction voulue. Depuis quand la
langue française dispose-t’elle de « pass ». Le « laisser-passer »
n’existe plus ? Depuis quand des « candidats vaccins » en phase d’étude
et d’expérimentation (sur large cohorte il est vrai) sont par magie des
« vaccins » comme celui contre le tétanos, la grippe, la variole ?
Mélanger des produits étudiés selon les règles de l’art avec des
produits torchés en quelques mois, c’est oublier que le mot ne fait pas
la chose.
Par ailleurs le « laisser-passer sanitaire » n’aura rien de
sanitaire puisqu’il ne peut nullement garantir justement l’état de
santé du possesseur.
C’est simplement un droit d’accès administratif privilégiant ceux qui se soumettent à une expérience à leurs éventuels dépends.
Ce
qui est sûr c’est qu’il y aura d’ici 2 mois des foyers dans des
endroits réservés aux cobayes disposant du laisser-passer qui ne
garantit nullement ni de la contamination ni de la contagion. Aucune
surprise on le sait déjà.
Ce qui est tout aussi sûr est que cela aura
peu d’incidence sur le cours des choses. Une journaliste s’est vu
refuser la libre circulation au Canada car elle n’était pas vaccinée.
Elle avait un test négatif datant de moins de 48h, une preuve d’être
rétablie d’une affection Covid, un certificat médical de taux
d’anticorps anti covid élevé, mais rien de rien...
Après il y aura la
3ième injection dont on sait qu’elle ne fait que repousser un peu
l’échéance, puis un nouveau vaccin et l’obligation vaccinale pour tous
tombera en 2023 de toute façon au terme de la phase d’expérimentation.
Et
si des séquelles sérieuses à moyen et long terme apparaissent on sait
déjà que ni les laboratoires, ni les responsables (mais pas coupables,
ce que confirmera M. Fabius au besoin) ne seront inquiétés.
Un cobaye
qui a signé une décharge avant de participer à une expérimentation n’a
aucun droit, sinon d’espérer ou de pleurer sur sa misère.
"
Renaud Bouchard