Au contraire. La gauche fait croire aux gens qui n’ont rien, que le partage va les sauver. Sauf que dans les pays comme la Tunisie, il n’y a rien à partager.
C’est une constante : la gauche s’installe là où il n’y a rien à partager, ou, s’il y a quelque chose, au bout de quelques années il n’y a plus rien.