L’important,
dans votre commentaire, c’est : ils s’en fichent.
Rester
dans la simple indifférence face à la culture, à l’enseignement, à la
justification de la prétendue “bonne violence” de Dieu, qui a conduit ses
adeptes à massacrer massivement, c’est
une très mauvaise tolérance. Il faut la détruire.
Ce
ne sont pas les athées haïssant les croyants, ni ceux qui “s’en fichent”, ni
les croyants eux-mêmes qui la détruiront s’ils refusent de la reconnaître et de
la combattre très explicitement. Quand ces croyants persistent à donner la
priorité au dogme, fut-il criminogène,
directement ou indirectement, au sein de leur religion, ils sont aussi
destructeurs de la paix et de l’amour que les athées haineux.
Tous alimentent aujourd’hui la pratique, par l’islam, de la criminalité prétendument divine, relancée et
justifiée par cette religion, six siècles après que le croyant juif Jésus de
Nazareth ait donné sa vie pour la détruire.