Dans cette déclaration commune du pape des “chrétiens” et du
responsable de l’islam - la religion qui, six siècles après l’auto-sacrifice du
pacifiant Jésus de Nazareth a relancé, pour
l’avenir, la croyance des juifs de l’Ancien Testament en la bonne violence commandée par Dieu -
on peut voir une conception semblable à celle des gouvernants “laïcs” de
l’actuelle France républicaine : La
vérité n’a aucun intérêt en elle-même. C’est l’art de présenter de manière
séduisante sa falsification qui fait la bonne politique.
LA PRATIQUE DE LA VIOLENCE RELIGIEUSE A TOUJOURS UN BEL AVENIR DANS LE MONDE MODERNE.