@Jacques-Robert SIMON
Pour fixer les idées (pas les pensées !) je prendrai le cas de l’action constructive nécessaire pour réaliser un logiciel.
Aucun des logiciels de quelque envergure que nous utilisons quotidiennement ne peut être vu comme le fruit d’une pensée isolée.
Il n’empêche, certes, que pour chacun des contributeurs (directs ou indirects) à la mise en oeuvre d’un logiciel opérationnel les contributions puissent gagner à être maturées dans la solitude.
Mais, prétendre aujourd’hui décider seul de la définition du besoin, du cahier des charges, de l’architecture, de la réalisation, et de l’entretien et des maintenances d’un logiciel proposé au public ne me semble définitivement pas être une approche susceptible de rencontrer beaucoup d’adhésions