@Fergus
Non, vous n’êtes pas patient. Votre registre s’est durci au fur et à mesure que les injonctions sans justification solide du monde médical dominant se renforcent.
Relisez-vous, par exemple dans votre façon de vous adresser à @alinea.
Pour mon cas, je vous demande juste de jeter un oeil au site dont j’ai repris partiellement le nom pour mon pseudo (avec l’accord de la webmestre) : eau-evolution. Lisez bien, en tenant compte du devoir de réserve des fonctionnaires qui restreint la liberté d’expression.
Vous verrez à quoi on s’expose quand on défend sincèrement la ressource en eau (ce constat se généralise facilement aux ressources environnementales).
J’en déduis pour ma part que le consensus mou, opposé à la dureté des constats scientifiques, est ce qui nous amène dans le mur. Vous décrypterez peut-être mieux le langage rassurant des greenwashers, pires que les abrutis qui doublent la dose de glyphosate sur leurs semences « round-up ready ».
Montrez-moi un signe que les décideurs s’attaquent aux causes de la malbouffe.
L’utilisation des sciences dures en dehors de leur domaine d’application est un signe fort de malhonnêteté de la part de nos dirigeants (et le fait qu’ils n’y comprennent rien ne les excuse pas). Regardez comment l’Institut Pasteur bidouille ses coefficients pour tenir son rôle de conseil, quand leur modèle s’avère incapable d’expliquer le passé.
Et si vous voulez m’instruire, expliquez-moi pourquoi c’est mal de faire l’analogie entre Hitler entraînant des foules entières par le truchement du surhomme et l’idéologie du vaccin indispensable (le projet macronien devenu guerre). Ne vous contentez pas de me rappeler qu’aucune analogie n’est parfaite correspondance.
Bonne soirée